
En mille tableaux je Te vois,
Marie, adorablement peinte ;
Mais nul ne Te saurait montrer
Telle que T’entrevoit mon âme.
Je sais seulement que le bruit du monde
S’est évanoui, depuis, comme un songe,
Et que l’immensité d’un ciel tout de douceur
Ineffable à jamais se repose en mon cœur
.
Novalis, Chants religieux
.
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