Tu coules avec le tour
levant ces pailles du sol dur.
Odeur de feu dans le sillage
et d’air ce corps dissous à l’encontre
du poids brut de l’univers.

Jadis ce souffle, ce mot
ce geste à l’orée de son propre mouvement
germa d’une pareille douceur
de solitude brisée.

Lorand Gaspar, Sol absolu
.
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